Manuel Amoros serait-il le futur coach de la JSK?L’information circule depuis hier, à la veille du match Bénin-Algérie ,sur la plupart des sites d’information algérien.
Même si pour Amoros “Ce n’est pas le moment de parler de la JSK” les médias en parlent assez pour que l’on s’interroge sur son avenir avec les écureuils du Bénin.
Après avoir entamé ces dernières semaines des contacts avec le technicien français de l’Étoile du Sahel, Denis Lavagne, puis le coach portugais, Mariano Barreto, qui n’ont pas abouti, les dirigeants de la JSK semblent avoir porté leur choix, cette fois, sur le coach français Manuel Amoros, celui-là même qui coachait, hier après-midi, l’équipe nationale du Bénin face à l’équipe d’Algérie. Il est vrai que le président Hannachi et ses proches collaborateurs avaient laissé entendre la semaine dernière qu’ils allaient réserver une grosse surprise aux supporters de la JSK, mais toutes les pistes déjà avancées de Sarramagna et de Wallemme se son avérées totalement fausses pour laisser apparaître finalement que c’est bien l’ancien défenseur de l’équipe de France et de l’Olympique de Marseille des années 80 qui était sur les tablettes des dirigeants kabyles.
Les contacts seront relancés après le match face à l’Algérie
Préoccupé par les éliminatoires de la Coupe du monde à la tête de la sélection du Bénin, Amoros aurait souhaité poursuivre les négociations après le match retour face à l’Algérie, qui s’est déroulé hier. D’après l’agent de l’entraîneur, les négociations se poursuivront ici à Alger, et non pas par téléphone. Si le président Hannachi veut le rencontrer, c’est pour finaliser et non pas pour discuter vaguement. Le président est convaincu du CV d’Amoros et souhaite conclure l’affaire le plus vite possible.
Amoros ira à la JSK avec ses propres adjoints
L’actuel sélectionneur du Bénin aurait souhaité ramener avec lui ses propres adjoints. Il est probable aussi qu’Amoros choisisse le préparateur physique. L’autre détail qui reste à régler est le salaire des adjoints, un point qui n’a toujours pas été abordé. Si le sélectionneur du Bénin se déplace à Alger, toutes les modalités du contrat seront abordées dans le détail en présence de Hannachi. La JSK fera officiellement une offre financière et, si les deux parties s’arrangent, Amoros sera nommé officiellement à la tête du staff technique de la JSK.
Après avoir entamé ces dernières semaines des contacts avec le technicien français de l’Étoile du Sahel, Denis Lavagne, puis le coach portugais, Mariano Barreto, qui n’ont pas abouti, les dirigeants de la JSK semblent avoir porté leur choix, cette fois, sur le coach français Manuel Amoros, celui-là même qui coachait, hier après-midi, l’équipe nationale du Bénin face à l’équipe d’Algérie. Il est vrai que le président Hannachi et ses proches collaborateurs avaient laissé entendre la semaine dernière qu’ils allaient réserver une grosse surprise aux supporters de la JSK, mais toutes les pistes déjà avancées de Sarramagna et de Wallemme se son avérées totalement fausses pour laisser apparaître finalement que c’est bien l’ancien défenseur de l’équipe de France et de l’Olympique de Marseille des années 80 qui était sur les tablettes des dirigeants kabyles. Aux dernières nouvelles, les dirigeants de la JSK avaient opté pour le Portugais Barreto qui avait même reçu une invitation officielle de la direction de la JSK, ce qui lui avait valu d’obtenir son visa auprès de l’ambassade d’Algérie pour débarquer à Alger avec la fin de non-recevoir que l’on sait.