Les écureuils du bénin sont en quête de leur meilleur équilibre. L’équipe devrait retrouver sa qualité de jeu sous l’ère MICHEL DUSSUYER et un certain GHANA – BENIN (1-0) en 2009.Ce sera le trampoline vers GABON-GUINEE 2012. Cette équipe avait un fond de jeu, elle jouait au ballon aujourd’hui elle joue à la baballe. Certains observateurs préparent dans l’ombre de la crise qui secoue le football béninois, des projets sur le long terme pour permettre au football béninois de redécoller. Cette noble ambition ne peut s’accommoder d’un service minimum. Chacun dans son domaine doit se donner à fond pour accompagner ce nouveau départ. Ce n’est pas ce que l’on a vu le dimanche dernier à ohenne Djenne stadium d’accra. Précision : dans la chronique du lundi 28 mars, je ne reproche pas aux joueurs d’avoir perdu contre la côte d’ivoire, non, loin de là, seulement je n’accepte pas qu’on perde en silence, sans presque jouer. Si les joueurs ont leur part de responsabilité dans cette défaite, il serait injuste de ne pas évoquer le jeu flou du ministre des sports, la mesquinerie de l’encore président de la fédération et l’incapacité de FORTUNE GLELE à affirmer sa crédibilité et à imposer ses choix aux joueurs. Ce sont les trois facettes de la défaite des écureuils contre la côte d’ivoire Quand MODESTE KEREKOU le ministre des sports est en contradiction permanente avec lui-même, il y a de quoi s’arracher les cheveux .Les écureuils doivent jouer le dimanche et jusqu’au mercredi le ministre cherche encore l’entraîneur qui doit les conduire. Préparez vos mouchoirs. Après avoir dit haut et fort à la télévision que le seul entraîneur reconnu est DENIS GOAVEC, il courbe l’échine devant la mesquinerie et l’arrogance d’ANJORIN MOUCHARAF qui s’oppose fermement à ce choix. Dans sa magnanimité , il rassemble les deux entraineurs pour concilier les deux listes sachant que les joueurs convoqués par GLELE sont déjà à Cotonou et que pendant ce temps les ivoiriens s’entrainent. Comble du ridicule. Une fois encore ANJORIN a défié l’autorité et une fois encore il a gagné. C’est les journalistes ivoiriens qui ont été les plus choqués quand ANJORIN a voulu récupérer les badges des journalistes béninois. L e président de fédération le plus contesté dans le monde ne supporte pas que certains journalistes béninois couvrent le match. Il est prêt à tout pour les en empêcher, jusqu’à se couvrir de ridicule devant la presse panafricaine .C’est sa manière à lui de se venger de la presse béninoise qu’il accuse à tord de lui avoir savonné la planche à Khartoum lors des élections au comité exécutif de la CAF.L’encore président de la fédération béninoise de football à une sacrée manière de motiver les joueurs. Il improvise une réunion avec les joueurs ce qui est rare, et débite sa diatribe anti ATTOLOU et anti AJAVON. Au lieu de parler de l’importance de ce match et du pourquoi les joueurs se doivent de mouiller le maillot, Anjorin a trouvé le temps d’avilir les démissionnaires. Qu’il s’en prenne à ATTOLOU ou à AJAVON c’est son droit, mais le timing est mal choisi ; ce n’était ni le moment , ni l’instant de jaser mais plutôt de sortir un discours qui doit motiver les joueurs. DAMIEN ET SESSEGNON se disputent le brassard Beaucoup de supporteurs et même des confrères se demandent pourquoi REDA JHONSON n’a pas été titularisé dans l’axe de la défense. L’absence de ROMAULD BOCCO devrait décaler Khaled ADENON au poste de latéral droit et REDA dans l’axe aux cotés de DAMIEN CRHYSOSTOME.GLELE FORTUNE y avait pensé il a discuté avec l’ancien capitaine de l’ Asec d’Abidjan .ADENON a opposé un refus catégorique. GLELE s’est plié à la décision du joueur du MAN FC. Dans sa conception du coaching, ce sont les joueurs qui décident, qu’importe le collectif, ADENON fera ce qu’il a décidé. Cette décision stupide relèguera sur le banc l’un des meilleurs défenseurs béninois dont l’entrée en jeu à été très intéressante. C’est vrai que GLELE n’est pas libre de ses mouvements ,il a le cul entre deux chaises. Soit il accepte les desideratas d’ANJORIN et il reste sur place ou il s’y oppose et il dégage. C’est un choix par défaut car le choix d’ANJORIN était wabi Gomez bien que ce soit GLELE qui ait conduit l’équipe à tripoli. Les joueurs sont conscients de ce manque de crédibilité du coach et ils en profitent même lors du choix du capitaine. ANJORIN (encore lui) avait décidé de retirer sans aucune explication le brassard à DAMEIN pour le confier à STEPHANE SESSEGNON.JEAN MARC NOBILO plus psychologue a imposé une rotation pour ne frustrer personne .Pour les matchs à domicile SESSEGNON sera le capitaine, et à l’extérieur, le brassard reviendrait à DAMIEN ou à BOCCO qui est nommé troisième capitaine. Légitimement donc DAMIEN demande le brassard, ce qui ne manque pas d’agacer l’ex parisien, le ton monte rapidement et alourdit davantage l’ambiance délétère qui régnait déjà dans cette équipe et qui divise le groupe. Certains joueurs ont pris partie pour MOURI OGOUBIYI qui ,bien que malade a fait le déplacement aux frais du contribuable béninois sur insistance de ANJORIN (toujours dans les coups foireux), a logé dans un appartement privé alors que le reste du groupe est à l’hôtel, a refusé de s’entrainer le vendredi àAccra avant de décliner l’offre de GLELE.Comment gagner un match dans ces conditions ,quand toutes les parties impliquées dans la préparation de ce match font preuve d’amateurisme, de frilosité voire d’incompétence ? SESSEGNON N’ETAIT PAS EN BOITE DE NUIT ? STEPHANE SESSEGNON a démenti être allé en boîte de nuit à Cotonou dans la nuit de jeudi contrairement à ce qui a été écrit dans le quotidien béninois ‘’la presse du jour’’ et relayé dans ma chronique du lundi 28 mars .Non seulement il était venu en retard, Ssessegnon a eu le temps d’aller en boîte de nuit écrivais-je .le capitaine béninois vient de démentir qu’il n’y était pas.no comment Marseille, wenceslas Teko